le corps causal : organe de la pensée abstraite
C’est ici que nous emmagasinons la mémoire de toutes nos vies antérieures, de nos expériences passées, et des acquis dans notre vie actuelle. Tous nos traumatismes passés y sont inscrits et peuvent affecter notre vie présente. Figure également ici la cause de notre réincarnation actuelle, les buts et missions que nous nous sommes fixés d’expérimenter dans la vie que nous occupons. Ce corps permet donc d’avoir accès aux annales akashiques : Pour commencer, il est très important de connaître les définitions des deux mots. Akasha est un mot sanskrit qui signifie “ciel”, “espace” ou “éther”. C’est la substance énergétique à partir de laquelle toute vie (âme) est formée. Akashique est un plan de la conscience cosmique qui fonctionne comme étant une sorte de mémoire ou archive, enregistrant tous les événements du monde. Accéder aux annales akashiques c’est comme accéder à une “Bibliothèque de l’Univers”.
Il est le siège de la conscience supérieure. Il est relié au chakra laryngé (gorge). Il est le centre de gestion karmique qui organise les synchronicités de la vie avec les personnes et les évènements que nous devons rencontrer. Lorsque le corps causal est touché, mal en point (à cause du mental souvent) nous pouvons déclencher des maladies diverses et variées que souvent la médecine traditionnelle ne peut guérir malgré toutes leurs bonnes volontés. C’est la “somatisation”.
A partir d’un concept généré abstraitement par notre cerveau, nous arrivons à créer des maladies bien réelles elles dont on à du mal par la suite à guérir.
Le Dr Babouraj le confirme : « Dans les sagesses anciennes, tout être humain est supposé être en bonne santé. La maladie, si elle apparait, serait là pour lui indiquer un déséquilibre. En Ayurveda, le corps le plus essentiel, c’est l’âme. Quand nous nous éloignons de notre chemin d’âme, nous allons créer un déséquilibre. Qui va se ressentir par un coup de mou, une sensation de déconnexion globale. Puis ce déséquilibre va se propager dans le corps que j’appelle « expérimental » ou des ressources.
Les maladies somatisées par la pollution causale : sont le plus difficile à gérer – c’est un problème karmique à assumer, ou un trajet prédéterminé du chemin de vie initiatique du patient qui ne se trouve plus sur le bon chemin à rééquilibrer. Ce n’est ni une injustice, ni une punition. Il faut décrypter les message, prendre le temps de la réflexion. Notre corps nous indique que l’on est sur la mauvaise voie. Le Karma trouvera toujours le moyen de vous avertir quand vous faites fausse route, non pas pour vous nuire, mais pour vous demander de rebrousser chemin et d’en prendre une autre.