Le corps physique : notre enveloppe

Le corps dit physique est celui que nous connaissons tous, celui que nous voyons, que nous pouvons toucher, celui que nous habillons.

Or comme vous le savez nous ne sommes pas qu’un corps physique au sens général du terme mais nous sommes constitué d’un ensemble de corps d’énergies reliés les uns aux autres et communiquant les uns avec les autres. Ces autres corps invisibles pour la plupart d’entre nous, arrivent quand même à communiquer par le biais du corps physique. Ces strates agissent sur nous par l’intermédiaire de nos glandes endocrines qui donnent des instructions aux différents systèmes du corps. Et ceux-ci répercutent leurs effets sur le corps physique. Plus de 15 milliards de cellules transmettent et reçoivent des messages des différentes parties de notre organisme.

Comment les recevons-nous ? Nous sentons des blocages, des raideurs, des zones tendues voire douloureuses, des inflammations, des zones qui picotent, etc. Cela signifie que notre énergie vitale (le prana) ne circule pas de façon harmonieuse à ces endroits.

Le corps physique est considéré comme le véhicule, le vêtement que nous avons choisi pour cette incarnation. Il est en fait la partie visible de l’iceberg car nous sommes beaucoup plus.

Nous sommes des gaines, des enveloppes, des strates, des couches d’énergie vibrant à des fréquences différentes et s’entremêlant les unes dans les autres. Et chacun d’eux est relié à des parties bien spécifiques de nous-mêmes interagissants ensembles. Ils recouvrent le vrai Soi, l’être profond et définissent ce que nous sommes individuellement.

Il est généralement représenté par la couleur rouge.

Pour rester en bonne santé, nous devons donc nous occuper des différentes couches qui nous composent, le mental, l’éthérique, le causal, le corps émotionnel. Si l’une ou l’autre de ces couches dysfonctionne, c’est le corps physique qui en subit les conséquences, générant des maladies que parfois la médecine traditionnelle n’explique même pas. Notre esprit est créateur, il n’a aucune limite. Notre corps physique lui en a, il est tributaire de ce que nous pensons, de ce que nous faisons.